“Confiance intacte et solidarité au Chef de l’Etat Macky SALL qui nous a habitué à la transparence et à la vérité

Réitérant mon engagement sans faille auprès du Chef de l’Etat le Président Macky SALL, il était important pour moi de préciser que ce compagnonnage repose sur la vérité, la transparence et la bonne gouvernance. J’avais décidé de me taire pendant  des jours, mais certains comportements et propos m’exaspèrent. Et, il est important pour moi de recadrer sinon partager mon avis sur la nécessité de savoir sur quel pied se tenir et de partager cette vision avec mes concitoyens manipulés.

Parlant de la gestion des ressources naturelles du pays, il n’y a pas deux camps. Il n’y a pas ceux qui sont contre la transparence et la bonne gouvernance, et ceux qui ne le sont pas. Tout Sénégal, du plus petit au plus grand et de quelque parti politique ou confession que ce soit devrait être concerné par cette question. 

Il importe de préciser qu’il n’y a pas d’affaire Pétro-Tim, mais une double-affaire « BBC-Pétro-Tim ». Autant il importe d’aller vers une clarification des thèses avancées par la chaine britannique concernant Pétro-Tim, autant on devrait s’interroger très sérieusement et profondément sur les dessus d’un reportage aussi tordu dans le procédé et qui transgresse toutes les valeurs déontologiques et éthiques du journalisme.

Un emballement peu réfléchi qui ne reflète pas notre maturité démocratique.

Depuis l’éclatement de l’affaire BBC-Pétro-Tim donc, le régime, ses alliés et même les cadres de l’APR ont été victimes de diatribes et d’indexations voraces qui ne se justifient en rien.  Présomptions d’innocence et « courtesse d’esprit » (Gat xel) mises à part, on se doit en tant que Sénégalais  d’accorder au Président de la République le bénéfice du doute quant à sa non implication à cette affaire, si affaire il y a.  Pour son action pure, transparente et à fort impact politique, économique et social au cours des ces sept dernières années, nous lui devons ce minimum de recul et de retenu (le temps de l’écouter et comprendre) si ce n’est pas pour le défendre d’office. D’aucun me diront c’est de notre devoir et de nos droits d’exiger la transparence. Aussi militant que je puisse être le bon sens et le patriotisme (l’Etat au dessus de tout) me contrains à exiger la même chose : cette transparence. Mais non seulement la manière est à déplorer, mais je suis inquiet de cette facilité déconcertante qu’ont des « manipulateurs internes et externes » à faire vaciller notre cohésion sociale, pourtant si vantée et si légendaire. Quand on est patriote et qu’on sente la main étrangère dans une affaire qui met en danger la stabilité du pays, il faut au moins se poser les bonnes questions, si on ne se range pas spontanément du côté de son pays.  Quid de notre sens de lecture et d’analyse ? Quid de la maturité politique du peuple, chantée à tue-tête sur toutes les tribunes internationales, depuis 2000,  s’il ne peut pas lire une machination politique orchestrée par l’opposition avec la complicité de la main étrangère ?

A méditer car comme disait Friedrich Nietzsche « la croyance que rien ne change provient soit d’une mauvaise vue, soit d’une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat ».

Une opposition peu réfléchie, manipulatrice et intellectuellement malhonnête

Certains responsables de l’opposition, – s’ils n’ont pas été complices de cette bulle puante -, n’ont  pas manqué de sauter sur l’occasion pour s’extirper de leur chômage politique. Ils  se sont permis des caricatures discourtoises qui leurs conviendraient franchement mieux qu’à la coalition gouvernementale Unis par l’espoir (Benno Bokk Yakaar, BBY) et qui œuvre au quotidien pour les sénégalais. En lambeaux, peu inspirée, infertile pour le pays et surtout dangereuse, l’opposition ne s’est jamais distinguée sur ce qui honore ou hisse l’image et le drapeau du Sénégal depuis 2012. Mais elle est bien présente sur tous les  « mauvais fronts » et  a la main toujours dans les « mauvais coups » qui ternissent l’image du Sénégal, pensant maladroitement salir le Président Macky SALL.  Les temps d’opposition – pour ne pas dire d’élection – existent avec sa marée de conflits d’idées et d’opinions. Le temps d’unité et de travail doit aussi exister dans la vie d’une Nation qui aspire à la cohésion sociale, politique et démocratique durable. En bon Chef de famille, le Président Macky SALL a tourné la page des « hostilités politiciennes » et invité tous les sénégalais au dialogue national. Alors que rien ne l’y oblige, vu qu’il a été royalement plébiscité par 58,27% des Sénégalais et qu’il ne vise pas un troisième mandat mais une sortie honorable et la satisfaction de pouvoir léguer un Etat de droit plus que jamais fort de ses instituions et de son économie.

L’Opposition fidèle à elle même (peu visionnaire, rancunière et indifférente à la consolidation de cet Etat de droit) a préféré refuser d’y répondre. Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l’entraide et la solidarité visant à un but commun : l’épanouissement de chacun dans le respect des différences. Cette vision de Françoise Dolto, le Président Macky SALL le partage. L’opposition sénégalaise elle, n’en a que faire.

Le discours politique de l’opposition sénégalais – pour ne pas dire « pillaillementdes aigris » -, rejoint la citation de George Orwell, selon laquelle il « est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air. Mais cela ne peut duper personne ».

Pour une opposition donc aussi inerte et inutile, le tombeau était déjà ouvert au soir du 24 février 2019. On a oublié de le refermer. Et à leur mémoire, l’histoire ne réservera que mépris. Le temps nous le dira.

L’honnêteté  intellectuelle – s’il en reste à l’opposition (puisqu’elle a déjà épuisé son quota politique et sa crédibilité avant les élections présidentielles, rappelant que la majorité des Sénégalais n’a pas voté pour elle) –  voudrait qu’elle appréhende l’information avec subtilité, objectivité et bonne foi. La question étant trop sérieuse pour une cohabitation apaisée. Sans rentrer dans le fond des accusations (sur lesquelles, rassurez-vous, je vais revenir),  je m’attarderai sur la forme dont ce  reportage a été réalisé. Et là, c’est le journaliste que je suis qui parle.

BBC : Une chaine mal intentionnée avec la complicité des autorités anglaises ?

La forme utilisée par la BBC démontre une ferme volonté  de produire un « élément à charge contre le régime » pour ne pas dire un torchon. Pour le journaliste que je suis, c’est un mythe qui s’effondre et me rappelant que la référence qu’il a été n’en fait pas pour autant un média infaillible. 

Vrai ou faux, présomption d’innocence ou pas, l’objectif manifeste est atteint, puisque le doute à lui tout seul a suffi pour plonger le pays dans une effervescence dangereuse, alors qu’on se réjouissait d’avoir dépassé les tensions post-électorales.

BBC n’a rien à foutre du Sénégal, de sa cohésion sociale ou de sa stabilité (parce que c’est de ça dont il s’agit avant tout). Cette chaine a toujours vu comme un terreux politique fertile pour faire les choux gras et sensation. Mais voir des compatriotes Sénégalais « consommer » ces informations sans se poser les bonnes questions et même applaudir un acte qui met en mal la stabilité et la cohésion nationale du pays, donne des frissons quant à leur attachement réel à leur patrie. 

Comment peut-on appeler un reportage réalisé sur un sujet, interrogeant exclusivement ceux qui en sont extérieurs et de surcroit des frustrés connus de tous, et ignorant toutes les personnes en charges officiellement du pétrole du gaz dans le pays ? 

J’ai été correspondant d’agence nationale pendant 7 ans dans un pays étranger, des articles ou reportages explosifs pouvant mettre en mal les relations entre deux pays ou menaçant l’intégrité ou la stabilité d’un pays, on ne les publie pas sans se référer aux autorités. Quid du silence de Londres  ou de l’Ambassadeur de la Grand Bretagne à Dakar ? Aux Sénégalais de savoir détecter l’intention sous-jacente de ce reportage qui peste de près comme de loin le complot orchestré par des « apatrides » et « ennemis extérieurs », et dont la seule cible est le régime actuel, et en l’occurrence la stabilité du Sénégal. L’on peut ne pas être d’accord avec le Chef de l’Etat, mais ne jamais pactiser avec l’étranger contre son propre pays. Et entendons nous bien, il ne s’agit pas de défendre qui que ce soit. Il s’agit d’inviter l’opinion publique à ouvrir les yeux et ne pas tomber dans le piège de certains manipulateurs que la vie a, du jour au lendemain, refusé de sourire. C’est lui di donne et retire. J’ai appris de Louis Kossuth que « le patriotisme est la source du sacrifice, par cette seule raison qu’il ne compte sur aucune reconnaissance quand il fait son devoir ». L’opposition qui attend que le fruit de son complot tombe pour qu’il le ramasse peut se trouver un autre qualificatif mais pas celui du « patriote », mais peu aussi aller tuer le temps parce que le mal ne prospère pas dans un pays béni et celui qui le prône court à sa propre perte (une réalité qui, sans doute, échappe encore aux Occidentaux, leurs complices).

Chers compatriotes, si à chaque fois qu’on crie au sorcier, on se met dans tous nos états tirant sur nous même sans réfléchir, il faudra bien attacher nos cœurs et se résoudre à l’évidence que nous courrons à notre perte. Avec une opposition faible, sans idées ni stratégie saine et des « grandes puissances » qui ne respirent plus que pour notre pétrole et notre gaz, il faudra s’attendre à des bulles puantes de ce type sinon pire et de façon récurrente. « Plus un homme a de courage et de patriotisme, plus les ennemis de la chose publique s’attachent à sa perte », enseigne Adolphe Thiers l’écrivain de la Révolution Française (1841). Le Président Macky SALL sait à quoi il est exposé. A nous Sénégalais d’être forts, intelligents et surtout unis pour ne pas être victimes de notre cupidité et de la fameuse « malédiction du pétrole ».  

Comme tout bon Sénégalais sensé la réflexion sur la question est de mise depuis la diffusion du Reportage et la manifestation de la vérité sur l’affaire doit être notre seul objectif. L’on doit se réjouir que le Chef de l’Etat le Président Macky SALL exprime sa volonté de transparence sur cette affaire que la justice s’en saisisse pour une enquête transparente et objective mette la lumière sur la question. Il a toujours placé le Sénégal et les Sénégalais au dessus de tout. Notre confiance au Président de la République SE Macky SALL reste intacte et encore plus vivace jamais. ET ce jusqu’à preuve du contraire par rapport à ce qu’il nous a jusqu’ici démontrés.

Le Président Macky SALL,pour ce qu’il fait au quotidien pour notre pays, mérite respect, considération et notre confiance. 

Aux « apatrides » et ennemies, je leur dis de réfléchir à deux fois avant de s’attaquer ou de tenter d’hypothéquer la stabilité et la paix d’un pays-baobab, si cher à Cheikh Ahmadou Bamba, El Hadji Malick Sy,  Mame Limamou Laye, Mame Bouh Kounta, Baye Niasse ou encore Cheikh Oumar Foutihou Tall…  

Vous avez touché le Sénégal, vous m’avez touché. Le combat ne fait que commencer.

Cheikh-Mbacké SENE

Cadre Républicain

Consultant en Communication et Intelligence économique

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