8 choses qui arrivent lorsque vous n’avez pas de r*lations s*xuelles

Si des relations s*xuelles épanouies sont la pierre angulaire d’une vie de couple épanouie, ces dernières pourraient jouer un rôle bien plus important pour votre santé globale. Et pour cause, s’abandonner aux pla*sirs d’Eros peut vous éviter de nombreux effets indésirables. Parmi eux : le stress, la maladie ou la sécheresse v*ginale. Mais au-delà de ces conséquences nocives, il existe 5 autres résultantes d’un manque de rapports. Voici 8 choses qui arrivent à votre corps lorsque vous avez tendance à bouder les draps. Ces explications scientifiques nous sont relayées par nos confrères de Business Insider.
De nombreuses raisons peuvent nous pousser à résister aux avances de notre partenaire. Fatigue, moral en berne, anxiété, autant de raisons qui brident la l*bido et peuvent, à terme, devenir un réel levier de panne s*xuelle. Seulement, cette tendance peut aller jusqu’à altérer la santé, et ce, à dix différents niveaux. Découvrez quelles peuvent être les conséquences d’un manque de relations s*xuelles.

1- Un moral en berne
Ce n’est pas un s*cret. Des r*lations s*xuelles épanouies permettent de s*créter de l’ocytocine et des endorphines, les hormones du bonheur. Le docteur Streicher, s*xologue, n’en démord pas. « La connexion s*xuelle donnée par les partenaires par le contact de la peau peut aider à réguler les humeurs » explique la spécialiste. Une raison suffisante de s’abandonner plus souvent à ces voluptés.

2- Un rétrécissement des parois v*ginale
Si le manque de relations s*xuelles peut impacter le bien-être, cela peut également avoir des conséquences physiologiques. Parmi elles : un rétrécissement des voies v*ginales. Docteur Cooper, s*xologue interrogée par Business Insider, l’explique : « Sans rapports s*xuels fréquents, à mesure que vous vieillissez, les parois de votre v*gin s’amincissent et peuvent entraîner de la douleur »

3- Une sécheresse v*ginale
Pour les femmes, les organes génitaux peuvent subir les conséquences d’une l*bido en berne. La raison ? Un manque d’œstrogènes qui décroit à mesure que le temps passe. « La lubrification diminue avec l’âge et si vous n’êtes pas excité les niveaux de s*crétions peuvent diminuer rapidement » explique la spécialiste Cooper.

4- Un stress plus important
Le s*xe peut être un puissant analgésique, une vertu hautement appréciée par les personnes en proie au stress. Et ce phénomène peut s’avérer être un cercle vicieux puisque le manque de rapports conduit à l’anxiété, et vice-versa. « Les gens qui sont moins stressés ont tendance à avoir plus de r*lations s*xuelles mais encore une fois, il s’agit d’une association qui n’est pas forcément liée à un r*pport de cause à effet » nuance le docteur Streicher.

5- Infections urinaires
Autre raison pour s’adonner plus souvent aux pla*sirs de la chair : un bon système urinaire. Et pour cause, des r*lations s*xuelles fréquentes promeuvent la prévention contre les infections. « La fréquence est le meilleur indicateur des infections récurrentes des voies urinaires » peut-on lire dans la revue American Family Physician.

6- Des crampes menstruelles intenses
Cet argument pourrait bien convertir de nombreuses femmes en proies aux douleurs menstruelles car celles qui ont des r*pports fréquents peuvent être soulagées lors de cette période délicate du mois. « L’ut*rus est un muscle et de nombreuses femmes auront une contraction utérine pendant l’orgasme. Cela entrainera une évacuation plus rapide du sang qui diminuera à son tour les crampes menstruelles » indique la s*xologue Streicher.

7- Un déclin cognitif
Etonnant mais vrai : des rapports s*xuels réguliers protègent le cerveau. La raison ? Une étude britannique a prouvé que les rongeurs qui avaient le plus de relations s*xuelles amélioraient leurs fonctions cérébrales et la croissance de ses cellules.

8- Des performances amoindries
« C’est en apprenant à forger que l’on devient forgeron » Cette maxime pourrait s’appliquer à cet effet indésirable puisque moins l’on a de relations s*xuelles, moins nous en avons envie et plus nos performances en pâtissent. Un cercle vicieux accentué par l’anxiété qui peut découler d’un manque de l*bido.

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