AGRESSION S3XUELLE MEURTRIÈRE A PETIT MBAO: Mariétou Doumbia sauvagement vi¤lée puis étouffée à mort

Mariétou Doumbia a été victime du sadisme s3xuel et meurtrier d’un individu non encore identifié. Le drame est survenu durant la matinée du samedi 24 février 2018, au quartier Peulhga de Petit Mbao. L’écolière, en classe préparatoire (Cp) à l’établissement scolaire public Moussé Seck de la localité, était partie acheter du café et du lait à la boutique du coin pour sa mère. Elle était accompagnée d’une fillette de la même maison, moins âgée qu’elle.

Encore une fillette prise dans les griffes d’un mystérieux détraqué s3xuel dans la grande banlieue dakaroise. Après la terrifiante déconvenue de la petite C. Mb, âgée de 5 ans, dans un bâtiment en construction, à Médina Gounass de Guédiawaye, Mariétou Doumbia, 8 ans, a subi les pires atrocités s3xuelles d’un maniaque, qui a fini par lui ôter la vie. Après son acte odieux, il a fourgué le corps dans un gros sac en plastique, puis jeté dans une ruelle peu fréquentée, située dans les parages de la maison des parents de l’écolière.

Elle était partie avec une fillette moins âgée, acheter du café et du lait pour sa mère à la boutique du coin

Rien ne pouvait pourtant présager d’un sort aussi tragique et cruel pour Mariétou Doumbia, durant la matinée du samedi 24 février 2018. Après avoir effectué quelques tâches ménagères, la fillette est envoyée à la boutique d’â côté par sa mère pour lui acheter du café et du lait pour son petit-déjeuner. La maman avait fini de vendre sa bouillie de mil et s’apprêtait à préparer le repas de midi. Mariétou, pieds nus, s’accompagne avec une fillette de la maison et se rend, à toutes jambes, à la boutique du ressortissant guinéen, qui se trouve à quelques jets de pierres et dans la même ruelle que la maison des deux enfants.

Elle reste dans la boutique, malgré les appels de sa famille, et dit attendre ses bonbons sucette à la menthe

L’accompagnante de Mariétou retourne à la maison sans celle-ci avec la commission et remet tout à la maman. Qui constate l’absence de sa fillette, appelle un enfant et l’envoie appeler à deux reprises à la boutique Mariétou. Mais, à chaque fois, cette dernière rétorque qu’elle arrive et attend que le boutiquier guinéen lui donne ses bonbons sucettes à la menthe. L’heure du déjeuner approche, mais la fillette tarde toujours à rentrer à la maison. Son papa Tidiane Doumbia minimise sa longue absence, croit qu’elle est avec des amies de quartier et ordonne la famille de manger et lui réserver sa part.

Des offrandes, sur recommandations de spécialistes de la voyance, pour conjurer le mauvais sort

Vu que l’enfant ne fait toujours pas signe de vie, les parents s’inquiètent et partent à sa recherche. Ils fouillent le quartier, se rendent aux différents lieux de fréquentation de la gamine et interpellent ses camarades de jeu. Mais, sans succès. Ils sillonnent la plage, font des offrandes en différentes natures et sollicitent les services des spécialistes en voyance. Ceux-ci les rassurent et leur soutiennent que la petite est en sécurité auprès d’une femme, qui va bientôt la ramener à la maison. Malgré tout, ils poursuivent leurs investigations jusque tard la nuit du samedi et décident suspendre les recherches jusqu’au lendemain.

Un écolier coranique flaire l’horreur, refuse d’emprunter la ruelle et alerte sa mère

Au petit matin du dimanche, le papa de la fillette se rend à la gendarmerie de la Zone franche industrielle de Mbao et informe le commandant de brigade de la disparition mystérieuse de sa fillette Mariétou Doumbia. D’autres membres de la famille investissent à nouveau les quartiers environnants à la recherche de la mineure. Des enfants arabisants se rendent à leur établissement coranique et empruntent une ruelle déserte. Mais, à l’entrée de la ruelle, un élève s’arrête brusquement, alerte ses condisciples sur une horreur et refuse d’avancer. Ses aînés, ignorant sans doute la nature de son alerte, le violentent et tentent de lui forcer la main. Le marmot éclate en sanglots et court chez lui alerter sa maman. Qui lui prend la main, prend ladite ruelle et tombe sur un gros sac en plastique contenant le corps de la fillette. Elle hurle de stupeur, quitte les lieux avec son fils et retourne à la maison.

Le corps, fourgué dans un gros sac en plastique, était jeté près d’un dépotoir sauvage d’ordures

La triste nouvelle se répand dans le quartier. Des proches de la fillette arrivent sur les lieux, découvrent l’ignominie et câblent le papa de l’enfant. Qui quitte la brigade de gendarmerie, se rend illico-presto sur les lieux et identifie sa fillette. Les pandores procèdent aux constats du drame, avec le médecin chef du district sanitaire de Sicap Mbao, et démarrent les auditions d’enquête préliminaire sur procès-verbal, aux fins de déterminer les circonstances de la mort cruelle de l’adolescente. Les sapeurs-pompiers embarquent le cadavre et l’acheminent dans un centre hospitalier pour les besoins d’une autopsie. L’enquête suit son cours.

Vieux Père NDIAYE

L’ANALYSE MEDICALE CONFIRME LE VIOL DE LA FILLETTE
Des traces de sperme et des morceaux de tissu enfoncés dans la bouche

Le viol de la fillette Mariétou Doumbia a été établi médicalement par un homme de l’art. Ce que le papa de l’enfant, Tidiane Doumbia, nous a confirmé, hier, lors de notre passage à la maison mortuaire. «Ma fillette a été violée. C’est ce que le médecin chef m’a dit», a soutenu le papa. Et de poursuivre, le visage triste, larmoyant et l’air absent. «On m’a rapporté qu’il y avait des trucs enfoncés dans sa bouche. Je présume que son violeur lui a fourgué ça dans la bouche pour l’empêcher de crier. On indique que c’était des morceaux de tissu. Il n’y a eu aucune trace de sang ou de blessures sur son corps. On m’a montré son visage et le pagne qu’elle portait, et je l’ai aussitôt identifiée», nous a-t-il déclaré.
«Le boutiquier guinéen, premier suspect, interpellé ; de la drogue et de l’alcool trouvés dans la boutique»
Les premiers soupçons des hommes en bleu pèsent lourdement sur le boutiquier guinéen du coin, où la fillette s’était rendue pour acheter du café et du lait pour sa mère. Le suspect numéro 1 des pandores a été cueilli et conduit à la brigade pour audition. Même si des voisins l’accusent d’avoir appâté la gamine avec des bonbons sucettes à la menthe, pour la retenir et abuser d’elle, après que l’accompagnante de celle-ci est retournée à la maison pour remettre la commission à la maman. «Il a dû faire partir son accompagnante, retenir la fillette et abuser d’elle. Pour l’empêcher d’alerter le voisinage par ses cris, il enfonce des objets dans sa bouche. Ce qui a dû certainement provoquer la mort de l’enfant par étouffement», nous confient des voisins. Qui affirment que les gendarmes ont trouvé des bouteilles d’alcool et du chanvre indien dans la boutique du Guinéen.

V. P. NDIAYE

jotaay.net

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