Bocar Diouf vol 224.000 francs dans une voiture et atterrit à la barre

Au tribunal d’instance de Dakar, Bocar Diouf répondait du délit de vol d’un sac contenant 224.000 francs et se trouvant dans un véhicule. L’affaire est mise en délibéré pour le 06 août prochain, renseigne le Témoin.

Devant la barre du tribunal d’instance de Dakar,le prévenu Bocar Diouf n’a pas perdu de temps pour avouer son forfait devant les juges « De retour du boulot, j’ai vu une personne décharger des bouteilles d’eau, je l’ai aidée avant de voir que la vitre de son véhicule était baissée.

J’ai dérobé un sac contenant 224 000 F Cfa. Avant de quitter les lieux, j’ai été vu par son fils qui était à l’intérieur de la voiture. J’avais faim. Je marchais mais je n’avais pas pris la fuite », s’est expliqué le prévenu.

Bocar Diouf serait dans le passé le propriétaire d’une buvette sise à l’avenue Blaise Diagne. Il gagnait 70.000 francs mais avait quitté sa famille qui l’avait perdu de vue. C’est quand il a été appréhendé pour vol que sa famille a été informée.

Dans son réquisitoire, le parquet a requis l’application de la loi pénale. Quant au conseil de la défense, il a plaidé, à titre principal, la relaxe pure et simple de son client qui a des problèmes psychiatriques pour qu’il aille se soigner et, à titre subsidiaire, une application bienveillante de la loi pénale.

Selon lui, si son client a reconnu sans ambages les faits de vol qui lui sont reprochés, c’est parce qu’il n’était pas dans son état normal. Il renseigne qu’à cause de son état mental, il avait quitté sa famille qui ne l’a retrouvé que grâce à ce malheureux fait de vol. Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour le 06 août prochain.Au tribunal d’instance de Dakar, Bocar Diouf répondait du délit de vol d’un sac contenant 224.000 francs et se trouvant dans un véhicule. L’affaire est mise en délibéré pour le 06 août prochain, renseigne le Témoin.

Devant la barre du tribunal d’instance de Dakar,le prévenu Bocar Diouf n’a pas perdu de temps pour avouer son forfait devant les juges « De retour du boulot, j’ai vu une personne décharger des bouteilles d’eau, je l’ai aidée avant de voir que la vitre de son véhicule était baissée.

J’ai dérobé un sac contenant 224 000 F Cfa. Avant de quitter les lieux, j’ai été vu par son fils qui était à l’intérieur de la voiture. J’avais faim. Je marchais mais je n’avais pas pris la fuite », s’est expliqué le prévenu.

Bocar Diouf serait dans le passé le propriétaire d’une buvette sise à l’avenue Blaise Diagne. Il gagnait 70.000 francs mais avait quitté sa famille qui l’avait perdu de vue. C’est quand il a été appréhendé pour vol que sa famille a été informée.

Dans son réquisitoire, le parquet a requis l’application de la loi pénale. Quant au conseil de la défense, il a plaidé, à titre principal, la relaxe pure et simple de son client qui a des problèmes psychiatriques pour qu’il aille se soigner et, à titre subsidiaire, une application bienveillante de la loi pénale.

Selon lui, si son client a reconnu sans ambages les faits de vol qui lui sont reprochés, c’est parce qu’il n’était pas dans son état normal. Il renseigne qu’à cause de son état mental, il avait quitté sa famille qui ne l’a retrouvé que grâce à ce malheureux fait de vol. Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour le 06 août prochain.Au tribunal d’instance de Dakar, Bocar Diouf répondait du délit de vol d’un sac contenant 224.000 francs et se trouvant dans un véhicule. L’affaire est mise en délibéré pour le 06 août prochain, renseigne le Témoin.

Devant la barre du tribunal d’instance de Dakar,le prévenu Bocar Diouf n’a pas perdu de temps pour avouer son forfait devant les juges « De retour du boulot, j’ai vu une personne décharger des bouteilles d’eau, je l’ai aidée avant de voir que la vitre de son véhicule était baissée.

J’ai dérobé un sac contenant 224 000 F Cfa. Avant de quitter les lieux, j’ai été vu par son fils qui était à l’intérieur de la voiture. J’avais faim. Je marchais mais je n’avais pas pris la fuite », s’est expliqué le prévenu.

Bocar Diouf serait dans le passé le propriétaire d’une buvette sise à l’avenue Blaise Diagne. Il gagnait 70.000 francs mais avait quitté sa famille qui l’avait perdu de vue. C’est quand il a été appréhendé pour vol que sa famille a été informée.

Dans son réquisitoire, le parquet a requis l’application de la loi pénale. Quant au conseil de la défense, il a plaidé, à titre principal, la relaxe pure et simple de son client qui a des problèmes psychiatriques pour qu’il aille se soigner et, à titre subsidiaire, une application bienveillante de la loi pénale.

Selon lui, si son client a reconnu sans ambages les faits de vol qui lui sont reprochés, c’est parce qu’il n’était pas dans son état normal. Il renseigne qu’à cause de son état mental, il avait quitté sa famille qui ne l’a retrouvé que grâce à ce malheureux fait de vol. Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour le 06 août prochain.v

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