Des « nervis » aux cotés de la Police : Pape Mahawa Diouf malmené en direct sur la TV5 (vidéo)

Lors d’une conférence de presse, la police a accusé des personnes armées, qualifiées de “nervis”, d’être impliquées dans les meurtres survenus lors des manifestations. Cependant, des vidéos présentées par les policiers ont suscité des interrogations, car elles montraient ces mêmes individus armés aux côtés des forces de défense et de sécurité. Ces coïncidences troublantes ont été soulignées, remettant en question la véritable nature de leur implication et leur relation avec les autorités.

Lors de la conférence de presse, la police a pointé du doigt la présence de personnes armées, qualifiées de “nervis”, parmi les manifestants. Ces individus auraient été identifiés comme les responsables des meurtres qui ont eu lieu lors des manifestations. Cependant, des preuves tangibles sont nécessaires pour étayer ces allégations.

Les vidéos présentées par les policiers ont suscité de vives interrogations. Dans une première vidéo, on peut voir les personnes armées parmi les manifestants, alors que dans une seconde vidéo, elles apparaissent aux côtés des forces de défense et de sécurité. Ces images troublantes remettent en question la véritable affiliation de ces individus et soulèvent des doutes quant à leur rôle réel dans les événements.

Coïncidences ou complicité ? La question se pose de savoir si ces coïncidences entre la présence des personnes armées parmi les manifestants et leur proximité avec les forces de défense et de sécurité sont fortuites ou révélatrices d’une éventuelle complicité. Les vidéos suggèrent une collaboration entre ces individus armés et les autorités, ce qui soulève des inquiétudes quant à la répression violente des manifestations.

Lors d’une interview sur TV5 Monde, Pape Mahawa Diouf, membre du gouvernement et porte-parole de la Coalition Benno Bokk Yakaar, a été interrogé sur la présence de ces hommes armés aux côtés des forces de défense et de sécurité. Sa réaction initiale a été d’esquiver la question, puis il a tenté de répondre, mais avec des difficultés évidentes. Cette réponse ambiguë suscite des interrogations supplémentaires sur la relation entre ces personnes armées et les autorités.

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