Les graves révélations de Diop Iseg : « Ce que ma femme a fait lorsqu’elle a été informée de ma libération »

Ce mardi, les journaux ont annoncé l’expulsion de Mamadou Diop Iseg par son épouse, Aissatou Seydi, de l’immeuble sis à Sacré-Cœur 3 où il vit avec sa famille, dont sa mère. D’après Diop Iseg, la procédure d’expulsion est bien en cours, cependant, il vit encore dans cette maison.

« On habite toujours ensemble et elle occupe une chambre dans la maison. Donc, l’ordonnance n’est pas valable parce que dans le Code de la famille, un époux ne peut pas exclure l’autre tant qu’ils sont dans les liens du mariage. Nous avons des arguments pour faire annuler cette ordonnance, car nous avons une fille qui est mineure et si on m’exclut, qui va se charger de l’éducation de l’enfant ? Je tiens à préciser que je suis toujours chez moi et je ne suis pas expulsé. C’est une procédure qui est en cours et il faut savoir qu’il y a trois procédures en appel, en annulation et une autre ouverte à la gendarmerie où nous avons été entendus », soutient-il. Selon Mamadou Diop, l’Iseg a décaissé 110 millions pour la maison dont le prix était fixé à 140 millions. Devant les enquêteurs, Aïssatou Seydi a elle-même reconnu que la maison a été achetée avec des chèques de l’Iseg, rapporte Les Echos.

Diop Iseg : « Il y a un deal flagrant sur mon dos »
Mamadou Diop Iseg ne s’arrête pas là et faits des révélations assez graves sur sa femme ainsi que la Bank of Africa (BOA), qui auraient orchestré un dal sur son dos alors qu’il était en prison. « Elle ne pensait pas que j’allais sortir et dès qu’elle a été informée de ma libération, elle s’est empressée de détruire les chèques. En complicité avec le propriétaire de la maison, Mamadou Ba et la Bank of Africa (Boa), il y a eu un deal sur mon dos. Maintenant, avec la Boa, il se pose un problème de transparence, dans la mesure où elle est incapable de me fournir les relevés bancaires avec les noms des bénéficiaires. Il y a un deal flagrant entre Aïssatou Seydi et la banque », révèle le patron de l’Iseg.

Diop Iseg ajoute que c’est lui-même qui a mandaté sa femme Aïssatou Seydi d’acheter deux maisons, celle où il habite et celle qui fait office de campus pour l’Iseg. Mais la dame ne s’est pas limitée à ce mandat puisqu’elle aurait retiré frauduleusement 713 millions, qui n’ont rien à voir avec l’argent des maisons. Et c’est pour cette raison qu’il a décidé de porter plainte contre la Boa, dont le directeur général sera entendu à la gendarmerie.

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