Elle met fin à leur idylle, l’amant la menace de publier ses photos d3nud3es

En dépit de tous les messages de la Plate-forme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC) invitant les femmes à éviter d’envoyer les images dénudées à leur correspondant, certaines continuent de se faire avoir.

C’est le cas de  Dame K éducatrice préscolaire dans une école de l’intérieur du pays. Mariée mère de 2 enfants ayant des problèmes avec son époux a trouvé du réconfort sur les réseaux sociaux.

Très vite le courant passe entre eux et ils se découvrent plein de points communs. Leurs échanges quotidiens vont déboucher sur une idylle virtuelle dans laquelle Dame K semble s’épanouir.

Elle n’hésite pas à envoyer des images d’elle dénudée et adoptant des postures très gênantes. Loin de se satisfaire de cet échange virtuel les deux amoureux décident de se voir et de passer à l’étape physique de leur histoire.

Histoire qui durera le temps de plusieurs rendez-vous dans les hôtels. Cette idylle se compliquera lorsque les problèmes de foyer de  Dame K se résolvent. Prise de remords, elle décide de mettre fin à cette infidélité et couper tout contact avec son amant.

Une décision qui ne va pas plaire à l’amant qui va la menacer via Sms et Messenger par des numéros inconnus de publier ses photos dénudées et adoptant des postures très gênantes.

Il lui demande la somme de 150.000 FCFA faute de quoi ses photos seront envoyées à tous ses proches (mari, collègues, parents…).

N’étant pas en possession de la somme, elle négocie un délai pour réunir ladite somme exigée .

L’éducatrice préscolaire décide de porter plainte à la  PLCC pour élucider cette affaire. Les investigations de la PLCC avec l’apport technique du LCN ont permis de remonter au propriétaire du numéro et d’interpeller son ex amant répondant au nom de BA.

Les investigations de la PLCC avec l’apport technique du LCN ont permis de remonter au propriétaire du numéro et d’interpeller BA.

Il a reconnu les faits lors de son interrogatoire et pour se défendre a ajouté l’avoir fait sous l’emprise de la colère. Il avoue qu’il refusait l’idée et n’entendait pas renoncer aux faveurs §3xu3lles, aussi à l’aide financière importante qu’elle lui apportait.

BA suspecté de chantage et menace de publication d’image à caractère §3xu3l sur internet a été déféré devant le Parquet d’Abidjan.

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