Tortures et abandon de détenus en pleine nuit par la police : Félix Antoine Diome aussi interpellé par le député-activiste

Selon nos confrères, il fait ainsi référence à leur arrestation lors d’une manifestation. Il rappelle dans la lettre déposée sur le bureau du président de l’Assemblée nationale, que le 23 mars 2022, près de 20 membres de mouvements citoyens ont été arrêtés devant le ministère de l’Intérieur, pour avoir manifesté contre le parrainage.

Vers minuit, certains parmi les citoyens arrêtés ont été mis dans une fourgonnette obscure, avec des policiers encagoulés, écrit le député. A l’en croire, ces derniers ont été violemment tabassés, torturés et ont subi des sévices corporels et psychologiques avant d’être largués, sans leurs téléphones portables, dans plusieurs zones : sur autoroute à péage, dans les Niayes, dans la forêt de Bargny, à Tivaouane Peul et sur la route de Thiès après Diamniadio .

Abandonner des détenus la nuit en pleine circulation, est bien une forme manifeste et inédite de mise en danger de la vie d’autrui, dit-il.

Avant de demander au ministre Antoine Félix Diome, quel service de police a commis de tels actes et qui sont les responsables de ces actes de torture ? S’agit-il d’une nouvelle doctrine de la police ou le fait d’agents de police qui ont agi de leur propre chef ?

vous pourriez aussi aimer
Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.