Le procès de Ndéye Fatou Fall, mieux connue sous le nom de Falla Fleur, militante de l’ancien parti politique Pastef, a abouti à une décision de justice qui semble plus clémente que ce que le parquet avait initialement requis. Falla Fleur, qui avait déjà été condamnée précédemment à trois mois de prison ferme pour provocation à un attroupement, se retrouvait cette fois face à des accusations de tentative de sortie irrégulière de correspondance.
La peine prononcée est de deux mois de prison, avec seulement dix jours à purger effectivement, ce qui indique que la cour a pris en compte certains éléments en sa faveur. Cette décision montre une certaine mesure dans le jugement, peut-être en raison de la nature de l’infraction ou de la défense présentée par Falla Fleur, qui a nié avoir écrit une correspondance dans l’intention de la sortir irrégulièrement.