La cojer de kaolack défend le directeur de la SENELEC et désapprouve les mercenaires de services ! 

La SENELEC, cette boîte blanche, reste immaculée depuis l’avènement de Pape Mademba Biteye. 

Nous avertissons, d’emblée, tous les fossoyeurs des acquis et les pourfendeurs  du bilan plus que glorieux du DG de la SENELEC, Pape Mademba Biteye! La cojer du département de kaolack félicite, de prime abord, le directeur de la SENELEC. Sa gestion est aussi blanche que de l’ivoire. Un homme du sérail à la barre du navire de la SENELEC a, depuis son avènement à la tête de cette direction,  transformé cette boîte  en une véritable fabrique d’ingéniosités d’innovations et d’amélioration des conditions de vie des travailleurs à tout point de vue. Il a fait jaillir la lumière un peu partout. Y compris les coins les plus reculés du pays. En un laps de temps, il a fini par montrer ses preuves dans toutes les zones longtemps éprouvées voire handicapées par l’absence cruelle de la clarté. A cet effet, La cojer de kaolack salue son travail remarquable,  l’encourage à perpétuer cette politique énergétique réussie sous son magistère conformément aux recommandations de son excellence le président de la République monsieur Macky Sall. 

En revanche, nous mettons en garde tous les politiciens encagoulés  qui, pour des intérêts bassement politiques doublés de considérations partisanes, veulent détourner de l’opinion publique des avancées notoires à son actif pour nous divertir avec une association de mercenaires, de ces intrus qui infestent cette boîte. Nous nous indignons de ce chantage devenu le sport favori de ces piètres prestataires de services par procuration à la SENELEC. En effet, il y’a lieu de préciser d’abord que ces prestataires se sont lourdement trompés d’interlocuteur. Ces derniers ne sont aucunement liés à la SENELEC, ils restent sous la subordination juridique des GIE qui se trouvent être leurs employeurs. La relation triangulaire de travail montre que ces prestataires sont simplement mis à la disposition de la SENELEC  et ne sauraient porter, en aucun cas, une telle réclamation devant la dite société.

C’est pourquoi, nous les ramenons à l’ordre aux fins qu’ils se ressaisissent pour se départir des pratiques ubuesques à l’encontre de l’éthique, de la morale et de la déontologie. C’est aussi paradoxal de voir des travailleurs qui revendiqueraient leurs droits, même s’ils se trompent d’interlocuteurs, et défier l’autorité préfectorale avec la complicité des activistes et des membres de l’opposition. Pourquoi se liguer avec des derniers ?Ces marchands de chimères, ces vendeurs d’illusions ne sont ni plus ni moins que des affabulateurs qui racontent des calomnies farcesques. 

Car, en vérité, ces prestataires de services qui ne sont liés à la senelec ni de prés ni de loin sont sous la coupole de la sous-traitance. C’est des travailleurs clandestins.

 Alors qu’ils sont activés par des réseaux souterrains dont leurs appartenances politiques sont connus de tous, ils veulent s’aggriper sur ce levier pour exercer une pression politique cousue de mensonges, d’intoxication, d’inventions, d’imagination, de supposition et de conjectures hasardeuses pour prétendre obtenir à tort un gain de cause indu et illégal. Et cela ne pourrait prospérer. 

C’est pourquoi, nous tirons la sonnette d’alarme et balayons d’un revers de mains toutes les accusations fallacieuses faisant état des recrutements aux allures de népotisme à la direction de la SENELEC. La  Cojer départementale de kaolack apporte un démenti formel sur les allégations de ces prestataires à propos d’éventuels recrutements qui sont faits au sein de la boite. S’ils sont incapables d’en fournir la moindre preuve, ils devraient avoir l’honnêteté de se taire et de mettre en deuil leurs penchants consistant à faire les yeux doux à l’opposition qui les instrumentalisent à des fins politiques. 

La politique de recrutement telle que définie par la SENELEC est scrupuleusement respectée par le Dg qui, au-delà des considérations politiques, se focalise plus sur le bien-être des populations, son seul et unique cheval de bataille. Aucun jeune  du département n’ y a fait l’objet d’un recrutement sans qu’il passe par la voie édictée et régentée par les textes. En conséquence, la cojer de kaolack exprime sa solidarité au directeur de la SENELEC Pape Mademba Biteye et l’invite à continuer son travail de titan sans tambours ni trompettes et laisser le résultat faire son bruit. Et nous n’accepterons en aucun cas que, dans le futur, des mercenaires à la solde de l’opposition et des activistes passent leur temps à le vilipender dans le but de vouloir ternir sa peau.  Halte à cette diabolisation gratuite à souhait. Aux éventuels récidivistes, nous promettons une réponse à la hauteur de la provocation.  

 Bocar Diallo coordonateur de la cojer départementale de kaolack

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