Le Racisme n’a pas sa raison d’être il faut lutter contre ce fléau pour sauver l’humanité !

La franco-suisse résidente à Genève, originaire des îles de l’océan Indien membre fondatrice de l’organisation humanitaire OCD ( Organisation pour la Cohésion sociale et le Développement des droits humains). De son vrai nom Karima Sandia.
BOINA.M elle est par ailleurs écrivaine autodidacte, dotée d’une gentillesse extrême et une modestie absolue qui la différencie des autres personnalités, depuis qu’elle a subi une agression suivie d’une discrimination avec des propos raciaux de la part d’un chauffeur de bus en France le 28 juin 2019, la dame de fer aux multiples casquettes reçois du jour au lendemain des témoignages très touchants comme celui de Michel Goumaz.

“On ne voit bien qu’avec le cœur. Le Petit Prince de Saint-Exupéry. Ces mots pourraient être la devise de Karima En 2006, organisée par l’association Aide Fédération où j’avais évoqué le tourisme équitable, j’ai eu le privilège de faire connaissance de Mme Sandia Karima avec qui j’ai noué une solide et profonde amitié. Son pays, les Comores n’ayant pour l’instant aucune infrastructure touristique, elle a pensé que mon projet pourrait être une bonne solution pour son pays, heureusement encore protégé du béton touristique à outrance. Pour cela, elle n’a pas ménagé ses efforts en m’introduisant auprès de personnalités importantes, notamment le Ministre des Affaires Étrangères, M. Ahmed Jaffar, qui m’a donné un ordre de mission, qui faute de financement et de suivi, n’a pas abouti.Cependant cela m’a permis de rencontrer une femme exceptionnelle par sa philosophie, son authenticité,ses pensées profondes et percutantes,son sens aigu des relations humaines. Se plonger dans son livre où je découvre une vie déjà d’une richesse rare d’une enfance partagée, parfois difficile, selon les traditions comoriennes, une volonté sans faille pour assumer les risques de l’émigration forcée vu la situation politique à l’époque de Bob Dénard, mais aussi à la découverte d’autres cultures, d’autres traditions. Depuis son arrivée á Genève, il y a un lustre elle a su se faire des connaissances et relations jusqu’au gouvernement cantonal. Paraphrasant George Brassens chantant : C’est auprès de mon arbre, Baobab ou sapin, c’est là qu’elle va se ressourcer. Karima s’est attachée à son pays d’adoption. En guise de remerciement elle s’est vouée à des actions de bienfaisance en aidant directement des personnes seules et, cerises sur le gâteau, elle confectionne à ses frais, chaque semaine une centaine de repas qu’elle distribue dans des associations. Cette histoire attachante d’un bout de vie fascinante, d’une richesse rare, incitera le lecteur à se remettre harmonieusement en question et à faire quelques réflexions essentielles. Merci Sandia.

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